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Un bilan ostéopathique pour bien préparer sa rentrée sportive !

 

Comme dit le proverbe : «  mieux vaut prévenir que guérir  ».

L'ostéopathie est donc tout naturellement préconisée lors du début d'une activité sportive afin de s'assurer que cette activité ne provoque pas de contraintes ou de tensions excessives sur l'organisme. Elle prépare le corps aux types d'exercices demandés. De même, lors de la pause de mi- saison, votre ostéopathe pourra faire un bilan des dysfonctions qui auraient pu se mettre en place.

 

Alors quand consulter ?

En prévention :

  • lors d'un bilan annuel

  • avant de commencer ou reprendre une activité physique

  • en préparation d'une épreuve sportive

  • pour améliorer ses performances (en augmentant la souplesse articulaire et ligamentaire, sans oublier la capacité respiratoire de façon à favoriser une meilleure récupération après l'effort).

 

L'ostéopathe, horloger du corps, évalue manuellement l'état des différents systèmes de l'individu par différents tests de mobilité, tant au niveau articulaire (vertébral ou périphérique) qu'au niveau viscéral ou crânien.

L'examen ostéopathique ne s'intéresse pas aux différents systèmes indépendamment les uns des autres, mais cherche également à évaluer les inter-relations, tant mécaniques que neuro-physiologiques, pour découvrir la cause du problème dite primaire.

En effet cette dysfonction primaire peut engendrer une série de problèmes secondaires (adaptatifs) et des symptômes à distance. Ceux-ci ne disparaîtront que lorsque la cause aura été traitée efficacement.

 

Pour Andrew Taylor Still, le fondateur de l'ostéopathie, une partie du corps atteinte signifie un déséquilibre de l'harmonie du corps tout entier. L'ostéopathie doit donc traiter non seulement la partie atteinte, mais agir également sur l'ensemble du corps.

 

On comprend ainsi aisément l'importance des bilans et visites préventives chez l'ostéopathe, à fortiori lorsque l'on pratique un sport régulièrement.

 

Que vous soyez sportif occasionnel ou averti, il n'est pas rare que votre corps subisse des traumatismes plus ou moins importants lors de votre pratique. Les dysfonctions inhérentes à ces traumatismes sont pour la plupart compensées par votre corps : c'est ce qui vous évite d'être blessé.

Cette capacité de compensation a pourtant ses limites qui, une fois atteintes, conduisent inévitablement à la blessure. C'est pourquoi il est conseillé de consulter votre ostéopathe à titre préventif, avant que la blessure ne s'aggrave ou ne s'installe à long terme.

 

Tout sportif, par des bilans réguliers, tant ostéopathiques que médicaux, entretiendra son état de forme, ses bonnes sensations, ses performances et sa récupération grâce à la prévention.

 

Fondée sur la recherche des liens de cause à effet entre les dysfonctions mécaniques et les troubles en résultant, le traitement ostéopathique déclenche des mécanismes d'autorégulation, qui permettent à l'organisme de retrouver son équilibre par lui-même. Les effets se font sentir dans les jours suivants, le 2e ou 3e jour il peut y avoir une exagération des symptômes, une sensation de courbatures, une fatigue. Le 4e ou 5e jour les améliorations peuvent être ressenties. Les 2 semaines suivantes, le résultat de la séance est constaté.

Il est judicieux de prévoir un temps de repos de 48h après une séance afin de profiter pleinement de ses bienfaits.

 

Véronique Pollock Ostéopathe D.O.

L’ostéopathie pour les " P’tits Lou "

Doit-on consulter en ostéopathie quand bébé se réveille la nuit, régurgite, est agité, pleure inhabituellement ?.....la réponse est oui….car la solution est, dans bien des cas, ostéopathique.

 

En effet, pour bébé qui arrive avec son histoire qui a déjà débutée in utero (positionnement, compression dans le ventre…), l’arrivée dans notre monde n’est pas toujours très simple : dans un laps de temps très court, le fœtus subit les contractions de l’utérus qui vont l’aider à se frayer un passage dans la filière maternelle tout juste adaptée à ses dimensions. Dans le même temps, il va devoir passer d’un environnement aquatique à un environnement aérien.

L’accouchement peut constituer le premier traumatisme pour bébé : trop long ou trop court, il peut perturber le fonctionnement normal des sutures crâniennes. Difficile, il nécessite parfois les spatules ou forceps qui vont influer sur la bonne mobilité des jonctions des os du crâne et occasionner des troubles fonctionnels immédiats ou ultérieurs.

 

Le corps du bébé n’arrive alors pas à se remettre de cet état de compression. Cela peut lui causer des gènes, qui vont s’exprimer par une nervosité anormale, des régurgitations, des troubles du sommeil…

 

Alors quand faut-il consulter ?

Outre les exemples déjà cités :

  • lors d’une naissance gémellaire (ou plus)

  • quand il y a présentation par le siège, le front, la face

  • si présence d’un cordon enroulé

  • en cas de prématurité

  • césarienne prévue ou en urgence

 

Un traitement ostéopathique précoce (dans le 1er mois) permet d’effacer les séquelles éventuelles de la naissance qui sont susceptibles de compromettre une croissance harmonieuse.

La prise en charge des tout petits dès les 3 ou 4 premières semaines gagne en efficacité car le corps du bébé est, dans cette période, très réactif et adaptable et répond extrêmement bien au traitement.

 

L’approche ostéopathique du nouveau- né laisse une grande place à l’écoute des réactions du corps. Un examen manuel très doux détectera aisément des dysfonctions à l’origine des troubles présentés par bébé.

Une séance peut parfois réveiller chez le nouveau-né des tensions enfouies très importantes qui s’évacueront par des cris, sans larmes et sans douleurs.

 

Le nombre de séances nécessaires ne peut être défini à l’avance. Une seule peut être bénéfique, mais, d’une manière générale, 2 ou 3 séances permettent de normaliser les troubles.

Dans le cas de déformations crâniennes (crâne plat par exemple), "torticolis" congénital…un suivi est mis en place jusqu’à la constatation d’une amélioration nette ou une disparition des troubles.

 

Les contraintes mécaniques lors de la naissance peuvent également se traduire tardivement, lors de la croissance, créant par exemple :

  • des otites ou rhinites à répétition chez l’enfant

  • apparition de strabisme ou autre dysfonction oculaire

  • plus tard : des déséquilibres posturaux comme les scolioses ou les troubles de l’articulé dentaire

 

D’où, une fois de plus, l’importance d’intervenir précocement afin de limiter les conséquences de ces contraintes.

 

 

L’ostéopathie ne dispense pas d’un suivi médical conventionnel.

Par des techniques douces et précises, elle permet de faciliter une croissance harmonieuse et se veut être avant tout préventive plus que curative.

Une consultation de contrôle est donc souhaitable lors de la naissance du nouveau-né, ainsi qu’une visite semestrielle ou annuelle de routine lors de l’enfance, de l’adolescence ou de la vie adulte.

Même si bébé ne présente aucun trouble fonctionnel apparent, les mains expertes de l’ostéopathe lui permettront de bien démarrer dans la vie.

 

Véronique Pollock Ostéopathe D.O.

Ostéopathie migraines et céphalées

Comme 90% des individus, vous avez certainement connu au moins une fois dans votre vie un épisode de céphalée, plus communément appelé mal de tête. Les douleurs au niveau du crâne ou de la face, peuvent, lorsqu’elles sont récurrentes, handicaper significativement votre quotidien.

Pour bien comprendre comment l’ostéopathie peut s’avérer être d’une aide non négligeable dans le contexte des migraines et céphalées, il est important de connaitre leurs origines. Celles-ci peuvent être essentiellement de six sortes différentes (lorsqu’elles ne mettent pas en jeu le pronostic vital à court terme) :
L’origine vasculaire : c’est la plus importante et est liée à un défaut de circulation sanguine.
L’origine neurologique : c’est notamment le cas de la Névralgie d’Arnold.
L’origine ostéo-articulaire : la migraine est alors consécutive à un dysfonctionnement musculo-squelettique, le plus généralement cervical très souvent accompagné de tensions musculaires.
L’origine traumatique : le traumatisme pouvant être directement crânien ou cervical.
Il est  à souligner qu’un « choc » émotionnel  peut produire les mêmes  effets au niveau tissulaire qu’un véritable traumatisme direct. 
L’origine psychologique : les émotions, les contrariétés, le stress peuvent  être à l’origine de migraines.
L’origine hormonale : les menstruations peuvent s’accompagner de douleurs crâniennes dues à la variation hormonale et/ou à la tension des organes du petit bassin (via les fascias).
Les différents types de migraine :
Une migraine peut être passagère ou chronique et extrêmement douloureuse. L’ostéopathie est alors une méthode de choix pour une action durable.
Une migraine, médicalement parlant, est une douleur affectant un seul côté du crâne (mi-graine). Les zones concernées sont généralement : les régions temporales, les yeux en cas de migraine ophtalmique, le cuir chevelu avec une douleur en casque (il s’agit alors d’une névralgie d’Arnold).
On distingue plusieurs types de migraines :
Les migraines communes, qui présentent une douleur pulsatile limitée à un seul côté.  Elles peuvent s’accompagner de nausées, vomissements, photophobie (sensibilité à la lumière), de sensibilité aux sons, d’un mal-être général associé à une irritabilité, de troubles de la concentration.
Les migraines accompagnées, qui  sont précédées de signes annonciateurs tels qu’une paresthésie (fourmillements), une paralysie temporaire. Apres ces premiers signes, la douleur crânienne fait son apparition.
Les migraines ophtalmiques, qui, outre la douleur localisée au niveau de l’œil, présentent des signes  d’ordre visuels  (photophobie, perte de la vue partielle). 

Le traitement ostéopathique :
Le fondateur de l’ostéopathie Andrew Taylor Still disait « la loi de l’artère est reine ». Autrement dit : lorsque le corps est correctement vascularisé, la maladie n’a pas sa place.
Le traitement ostéopathique repose donc  essentiellement sur cette règle de base. En effet, les migraines sont généralement liées à un défaut de vascularisation crânienne, l’ostéopathe va donc faire en sorte de relancer la circulation, et cela au travers de différentes techniques.
Il peut s’agir :
D’ostéopathie crânienne, avec non seulement un travail de normalisation des tensions des membranes (dure mère et autres méninges entourant le cerveau), de régularisation des pressions liquidiennes, mais aussi un travail de rééquilibrage de l’axe cranio sacré, et donc du bassin.
D’ostéopathie « structurelle », en travaillant sur les dysfonctions vertébrales, le plus souvent cervicales, mais également dorsales hautes, dans la région située entre les omoplates, et qui peuvent empêcher la bonne vascularisation et/ou innervation du crâne. Le praticien vérifiera également les articulations connexes temporo-mandibulaires, 1ère côte….
De la correction d’un whiplash : phénomène « d’ébranlement » du corps fréquent dans les accidents de voiture par exemple, où l’axe crâne/sacrum perd son équilibre.
D’un travail viscéral, au niveau du petit bassin notamment.
Il n’existe bien entendu pas de protocole de traitement préétabli, celui-ci  prenant forme en fonction de chaque patient. Car même si chacun se retrouve un peu dans toutes ces descriptions, chaque cas à sa particularité, de la même façon que chaque praticien possède sa propre sensibilité….
Certains maux de tête peuvent toutefois s’avérer grave (en cas d’accident vasculaire cérébral par exemple), votre ostéopathe est formé à déceler toute contre-indication à un traitement ostéopathique et n’hésitera pas,  en fonction des circonstances, à vous réorienter vers un praticien adapté à votre situation.

L’ostéopathie se caractérise par son approche globale : la posture, les viscères, les fascias (dont les fascias cervicaux se terminant à la base du crâne), seront considérés. Cela permet de mieux contrôler le nombre, la durée et l’intensité des maux de tête, voire de las faire disparaître…
Généralement, les céphalées qui sont prises en charge en ostéopathie cèdent en deux ou trois séances.
L’avantage incontestable de l’approche ostéopathique, lorsque le traitement est complet et bien mené, est d’éviter les récidives ou, tout au moins, d’espacer considérablement les épisodes migraineux.

Véronique Pollock, ostéopathe D.O.
 

L’ostéopathie traitant l’origine des troubles fonctionnels, elle s'adresse à toute personne, sportive ou sédentaire, jeune ou moins jeune. La liste des indications dont elle se préoccupe ne peut être exhaustive.

Domaines d’intervention

Pour les adultes :

- problèmes orthopédiques : entorses, tendinites, dorsalgies, lumbagos, cervicalgies, lombalgies, douleurs articulaires…

-neurologique : sciatiques, névralgies, neuropathies diverses…

-respiratoire : problème respiratoire, anxiété

-digestif : acidité gastrique, troubles digestifs, ballonnements, constipation…

-ORL et céphalique : rhinites, migraines, sinusites chroniques, vertiges, acouphènes, céphalées…

-neuro-végétatif : stress, angoisse, états dépressifs, troubles du sommeil, irritabilité…

-problème de concentration, baisse de la vitalité, fatigue chronique…

-problèmes dentaires (séquelles post-opératoires)

-elle s’intéresse également aux séquelles de traumatismes.

Pour les nourrissons :

-cris, pleurs, irritabilité

-régurgitation, constipation, cliques

-sommeil perturbé

-asymétrie du crâne, conjonctivite, strabisme

Pour les enfants :

-hyper activité, dyslexie

-colique, constipation

-sommeil perturbé

-problèmes dentaires et complément de travail orthodontique

Véronique Pollock, Ostéopathe D.O.

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